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Vie des entreprises

Transitions



Pour une agriculture régénérative, bas carbone et favorable aux sols et à la biodiversité |

VIVESCIA lance avec ses partenaires TRANSITIONS, un programme novateur en France, à l’échelle inédite, avec d’ici 2026, près de 1000 agriculteurs engagés !

TRANSITIONS est un programme pionnier et concret d’accompagnement d’agriculteurs des territoires du Nord-Est de la France. Une démarche de coopération unique entre l’amont et l’aval, qui vise à lever les freins économiques et techniques vers une agriculture régénérative, bonne pour la planète, le climat et la biodiversité, afin d’engager 1000 agriculteurs VIVESCIA à horizon 2026.

Un programme à impact : les pratiques agricoles doivent s’adapter pour que les sols soient résilients et stockent davantage de carbone, pour que les champs émettent le moins de gaz à effet de serre possible, pour que les fermes demeurent rentables et pérennes. Dérisquer les agriculteurs qui font le choix de faire évoluer leurs pratiques tout en maintenant un bon niveau de production agricole, changer d’échelle, parler un langage commun entre tous les acteurs des filières, sont au coeur du programme TRANSITIONS. Sur le volet décarbonation du programme, TRANSITIONS fixe comme trajectoire à horizon 2030, une réduction de -20% d’émissions de gaz à effet de serre.

Christoph Büren, Président du Groupe VIVESCIA, déclare : « TRANSITIONS insuffle entre les acteurs des filières végétales et céréalières une énergie du faire ensemble. TRANSITIONS porte une vision optimiste et positive de tout un collectif qui croit en une agriculture pro-active, soutenable et performante. Avec Avril et sa filiale Saipol, Tereos, Roquette, nos entreprises de VIVESCIA Industries, clients et partenaires, et d’autres demain, nous lançons aujourd’hui le mouvement avec et pour les agriculteurs. Un mouvement dont la vocation naturelle est d’être dupliquée, adaptée ailleurs en France et au-delà. »

Un programme qui fédère des filières végétales et céréalières de l’amont à l’aval : pour réussir les transitions agricoles et alimentaires à grande échelle, seule une réponse collective s’impose pour en mutualiser les coûts.
Avril et sa filiale Saipol, Roquette et Tereos [lire leurs déclarations ci-après] ont dès à présent choisi de rejoindre TRANSITIONS aux côtés des entreprises de VIVESCIA Industries – Grands Moulins de Paris et ses marques Francine et Campaillette, Malteurop, Délifrance, Kalizea - pour répondre aux trajectoires de décarbonation fixées à 2030 (SBTi, SNBC1) et sécuriser les chaines d’approvisionnement face aux aléas climatiques et à la fragilisation de la biodiversité.

Un programme novateur dans son approche agronomique, son accompagnement et son modèle économique, avec un démarrage dès la récolte 2024

Franck Leroy, Président de la région Grand Est, salue le programme, dans le cadre de son intervention lors du lancement de TRANSITIONS : « Le projet ambitieux et innovant TRANSITIONS initié par VIVESCIA et ses partenaires fait appel à des sources de financement, portées par les primes filières de sa chaine de valeur et de son écosystème agricole, et au soutien de la puissance publique pour valoriser les services environnementaux et leurs co-bénéfices. Ce modèle vertueux pourra être répliqué sur d’autres territoires de la Région Grand Est qui bénéficieront des retours d’expérience et de l’ingénierie pensés par VIVESCIA. En développant notamment des systèmes agricoles à bas niveaux d’intrants fossiles ou de synthèse, ce projet doit contribuer à la résilience et à la souveraineté alimentaire de la France, à l’amélioration de la qualité de l’eau et de la biodiversité, à la réduction des émissions de carbone et à l’attractivité des métiers agricoles. C’est pourquoi, la Région Grand Est soutient le projet TRANSITIONS dont les objectifs convergent avec ses politiques agricoles et environnementales ».

« L’initiative de VIVESCIA répond à un grand nombre d’impératifs que chaque agriculteur ne peut pas aborder seul. Elle associe le besoin massif d’accompagnement pour réussir la transition agro-écologique avec la dimension collective et territoriale majeure aux côtés des actions individuelles. De ce fait, le statut de coopérative est un atout considérable avec, de plus, l’ambition d’engager simultanément la production et la transformation agroalimentaire », souligne Philippe Mauguin, Président d’INRAE.

4 principes animent TRANSITIONS

1. SBTi : Créé au lendemain de l’Accord de Paris et issu d’une collaboration entre plusieurs institutions au niveau mondial, dont l’ONU, le Science Based Targets Initiative (SBTi), fait aujourd’hui référence en matière de trajectoire carbone des entreprises. https://sciencebasedtargets.org/
SNBC : stratégie nationale bas carbone portée par la France, en cours de révision.

Toopi Organics



Pionnier de la valorisation agricole de l’urine humaine, lève 16M€ pour accélérer son déploiement en France et en Belgique

  • La startup clôture une série A de 11M€ menée par le fonds VisVires New Protein. Elle compte à présent à son capital 7 fonds à impact, dont 6 sont établis en France et en Belgique.
  • Ce tour de table est complété de près de 5M€ de fonds non-dilutifs obtenus auprès de l’Agence de la transition écologique (ADEME) et de Bpifrance.
  • Toopi lance la commercialisation de son premier produit en France et en Belgique, Lactopi Start, un biostimulant issu de la fermentation de l’urine humaine pour le remplacement partiel (jusqu’à 50%) des engrais chimiques.
  • Bénéficiant d’autorisations de mise sur le marché dans 6 pays européens, Toopi Organics veut collecter et transformer plus de 2 millions de litres d’urine en Europe en 2027, évitant ainsi de souiller plus de 24 millions de litres d’eau potable aux toilettes.

Loupiac-de-la-Réole (33) France, Mardi 12 septembre 2023 – Toopi Organics, jeune entreprise de biotechnologie spécialisée dans la collecte et la transformation d’urine humaine en biostimulants pour l’agriculture, annonce aujourd’hui avoir sécurisé 16 millions d’euros pour financer son déploiement industriel et commercial en France et en Belgique.

Ce tour de table est composé d’une série A de 11 millions d’euros et de près de 5 millions d’euros de fonds non-dilutifs. Le fonds VisVires New Protein (investisseur historique d’Ynsect) a mené cette levée de fonds, suivi des fonds à impact Edaphon, Noshaq et MAIF Impact, ainsi que de BNP Paribas Développement. Les investisseurs historiques, dont IRDI, JOHES, et MakeSense, ont également participé à ce tour de financement.

Entreprise engagée dans la préservation de la ressource en eau et dans la transition agricole, Toopi Organics est désormais soutenue par 7 fonds à impact. La société bénéficie également d’un contrat à impact social de 3,8 millions d’euros remporté auprès de l’Agence de la transition écologique (ADEME), et de 1,1 million d’euros de subventions France 2030 accordées par Bpifrance. L’ensemble de ces financements va constituer un levier essentiel pour mobiliser de la dette bancaire dans les mois à venir.

Ces fonds vont permettre à Toopi Organics d’étendre son réseau de collecte d’urine humaine, de développer 3 nouveaux biostimulants urino-sourcés, et de construire deux usines de transformation d’une capacité d’1 million de litres par an chacune, implantées en France et en Belgique.

Alexandra Carpentier, directrice générale de Toopi Organics, déclare : « Avec cette levée, notre objectif 2027 est de déployer une gamme de biostimulants urino-sourcés sur plus de 600,000 hectares agricoles en Europe. Notre premier produit a fait l’objet de plus de 40 essais agronomiques au cours des 3 dernières années. Il a reçu le feu vert des autorités réglementaires et est désormais utilisable en agriculture biologique. Aujourd’hui, le Lactopi Start constitue donc une solution écologique pour réduire notre dépendance aux importations d’engrais phosphatés issus de l’extraction minière, sans affecter les rendements et en réduisant les coûts de fertilisation pour les agriculteurs. La commercialisation a commencé cette année en Belgique via la coopérative agricole SCAM. Les relevés réalisés cet été chez les agriculteurs sur maïs et betterave sont très prometteurs, et une nouvelle commande vient d’être livrée. C’est de très bon augure pour la commercialisation en France, que nous venons d’amorcer avec le distributeur Qualifert

Marie-Anne Dupin, co-fondatrice et directrice de la recherche, VisVires New Protein, ajoute : « En un peu plus de 3 ans, Toopi Organics a réussi à structurer un réseau de collecte d’urine autour de grands acteurs comme Vinci Autoroutes, le Futuroscope, et WC Loc pour les festivals de musique. L’équipe a également réalisé un tour de force, en obtenant des autorisations de mise sur le marché dans 6 pays européens pour un biostimulant inédit, à base d’urine humaine fermentée. Pour la communauté des investisseurs, ce tour de table marque une nouvelle étape dans la réalisation de la promesse industrielle, agricole et environnementale portée par Toopi. »

Michael Roes, co-fondateur et président de Toopi Organics, complète : « Il y a 4 ans, arrêter d’uriner dans l’eau potable et considérer l’urine comme une ressource naturelle renouvelable étaient des idées minoritaires, qui faisaient sourire. Depuis, un consensus scientifique a émergé sur l’intérêt de la collecte séparative de l’urine. Il y a eu la guerre en Ukraine, qui a provoqué des pénuries d’engrais inédites en 2022, avec des augmentations de prix jusqu’à 300%. La sécheresse bien sûr, avec des restrictions d’eau dès le mois de Mars en France cette année. Avec notre technologie pour l’hygiénisation et la fermentation de l’urine humaine, nous apportons enfin un modèle économique viable pour la valorisation agricole de l’urine. Avec l’appui de ce consortium d’investisseurs, qui s’est ouvert à l’international avec VisVires New Protein et les belges Edaphon et Noshaq, notre ambition est d’aller vite et loin, en Europe et ailleurs

Site internet : https://toopi-organics.com

Le Concours d’écriture

est de retour !



Les inscriptions au concours d’écriture pour l’année scolaire 2023/2024 sont ouvertes.

Ce concours d’écriture est organisé chaque année par Eureden en partenariat avec le journal Paysan Breton. Il permet aux étudiants de s’exprimer au travers d’un article journalistique sur un sujet d’actualité proposé par la commission communication du groupe Eureden.

Cette année, le thème du concours est : La communication positive agricole 

Les 3 meilleurs articles seront publiés dans le journal (qui compte plus de 70 000 lecteurs) au printemps 2024 et gagneront un prix (1er prix : 1 500 €, 2ème prix : 1 000 € et 3ème prix 500 €).

Par ce concours, nous avons un triple objectif : 

  1. Renforcer les relations qu’Eureden entretient avec vos établissements ; 
  2. Offrir aux agriculteurs qui lisent le Paysan Breton des réflexions sur leur métier et leur avenir, au travers de témoignages ;
  3. Permettre aux étudiants de s’exprimer au travers d’un écrit de communication, qui, s’il est sélectionné, sera publié dans les pages du journal et récompensé de l’un des prix. 

Pour vous, enseignants, l’intérêt pédagogique est indéniable. Participer à ce concours est l’occasion de faire connaître à vos étudiants les ficelles du journalisme et de les initier à la communication écrite. En effet, avec comme objectif d’écrire pour être lu, cet exercice se révèle très formateur pour vos étudiants, qui, plus tard, seront amenés à produire des écrits professionnels.

Inscriptions

Via ce formulaire à remplir avant le 10 novembre 2023.

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Le Gouessant développe

son activité pommes de terre



La pomme de terre est une production historique pour la coopérative Le Gouessant. Pour répondre à de nouveaux marchés porteurs de valeur ajoutée, elle recherche de nouveaux producteurs.

Depuis 1964, la culture de la pomme de terre fait partie des fondamentaux de la coopérative Le Gouessant. Avec des volumes en hausse et de belles perspectives de développement, la production de pommes de terre est une activité dynamique. Elle concerne une cinquantaine de producteurs. Chaque année, Le Gouessant valorise 25 000 tonnes de pommes de terre fraîches, pour la consommation et transforme 10 000 tonnes pour l’industrie agroalimentaire. La coopérative fournit également des pommes de terre crues que les industriels transformeront, en chips par exemple. Ce marché est en plein essor. Ce double débouché permet d’augmenter le pourcentage de valorisation, ce qui est intéressant à la fois pour les producteurs et la Coopérative.

Produire pour de nouveaux débouchés

Le marché de la pomme de terre est assez stable en volume, mais les consommateurs attachent de plus en plus d’attention aux caractéristiques des produits. Cette demande croissante pour des légumes à l’origine et à la qualité parfaitement identifiées offre à la coopérative Le Gouessant un intéressant potentiel de développement. « Les gens veulent consommer local et manger mieux avec des légumes produits sous cahier des charges tels que HVE ou « Pour Une Agriculture du Vivant », des cahiers des charges avec lesquels nos producteurs ont l’habitude de travailler, souligne Jérémy Redon, responsable commercial de l’activité pommes de terre. Les légumes bretons ont une bonne image partout en France. Des produits comme la pomme de terre de la Baie du Mont-Saint-Michel attirent les clients pour leur authenticité ». Il y a également une demande croissante en produits transformés.

Pour profiter de ces nouveaux débouchés, la Coopérative a tracé un plan d’évolution jusqu’en 2030. Déjà, des investissements dans de nouveaux outils ont été réalisés, par exemple, pour proposer de nouveaux formats de conditionnement en pommes de terre de consommation mais aussi pour automatiser certaines tâches. Afin de produire des volumes supplémentaires et répondre à ces débouchés, la Coopérative recherche de nouveaux producteurs dans ses bassins historiques, mais pas que. « Multiplier les cultures locales nous permettra de répondre à de nouveaux marchés », explique Jérémy Redon.

À ses nouveaux producteurs, la coopérative Le Gouessant assurera un accompagnement technique. « Cela débute avant même que le producteur ne se lance, explique William Paquet. Pour être sûr qu’il puisse produire dans de bonnes conditions, nous réalisons un audit de faisabilité, afin de savoir si ses parcelles se prêtent à la culture de la pomme de terre, s’il a des possibilités pour trouver une entreprise d’arrachage à proximité et étudier les possibilités de stockage ».

Au niveau économique, les cours de la pomme de terre de consommation sont fluctuants mais plutôt rémunérateurs en ce moment. La Coopérative assure aux producteurs un prix minimal garanti pour couvrir les frais de production. Selon le niveau de cours, une bonification peut s’y ajouter. Pour les pommes de terre transformées, la production est contractualisée avec un prix défini à l’avance. « Par souci de transparence, les producteurs peuvent assister à l’agréage de leur lot », complète William Paquet.

Site internet : https://www.legouessant.com

Eureden devient partenaire

de l’équipe féminine du Brest Bretagne Handball



d’aucy, marque d’agriculteurs du Groupe Eureden, est fière d’annoncer son nouveau partenariat sportif dès septembre 2023 avec l’équipe féminine du BBH (Brest Bretagne Handball). À travers le sponsoring, le BBH et la marque d'aucy affirment leurs valeurs communes sur le territoire breton.

Eureden engagé sur son territoire 

Le groupe agroalimentaire coopératif Eureden est fortement engagé sur le territoire breton, notamment à travers son sponsoring du sport collectif breton de haut niveau. Pour la prochaine saison sportive, le Groupe Eureden a souhaité aller plus loin à travers sa marque d’aucy, en s’engageant auprès du BBH. L’occasion d’affirmer son soutien au sport féminin, en affichant fièrement d’aucy sur les maillots.

La marque d’aucy et le BBH partagent de nombreuses valeurs communes : le dépassement de soi,  l’ancrage territorial, la création d’émotions, la passion, le sens du collectif, le partage et la mise en valeur des femmes à travers leurs compétences.

L’enjeu est également de sensibiliser le public au “bien-manger”, et au lien entre alimentation et santé.

Un partenariat cultivé autour de 4 piliers  

L’ancrage territorial, la Bretagne.

L’esprit collectif et de partage.

La performance, par un accompagnement bienveillant et exigeant dans la progression des joueuses et dans la montée en compétences des femmes et des hommes qui font Eureden.

Le bien manger pour tous, pour sensibiliser le public à l’importance d’une alimentation équilibrée.

Le plus haut niveau français et une ouverture à l’international

La saison dernière, le BBH a terminé 2ème meilleure équipe féminine française de handball.

Elle évoluera sur la saison 23/24 de nouveau en Ligue Butagaz Énergie, au plus haut niveau français féminin.

Eureden aura aussi le plaisir de supporter l’équipe en EHF Champions League.

Un partenariat responsable et engagé

Eureden et le BBH sont conscients des enjeux liés au développement durable et souhaitent y contribuer conjointement. 

Le BBH à travers 3 piliers : 

  • Communauté et développement local
  • Bien-être et conditions de travail 
  • Empreinte Environnementale 

La labellisation FairPlay For Planet certifiée Player obtenue en octobre 2022 en fait le premier club féminin et premier club de handball à intégrer ce label en France.
En signant avec Fair Play For Planet, le club de Brest Bretagne Handball (BBH) et la salle Brest Arena manifestent leur volonté de s’inscrire dans une politique RSE (responsabilité sociétale des entreprises) et environnementale vertueuse. 

Quant à Eureden, le groupe coopératif agroalimentaire ancre sa politique RSE à travers 5 piliers : le développement des territoires, une alimentation de qualité et accessible, le respect de la planète, une agriculture plurielle et durable et un engagement coopératif et social. 

Rendez-vous prochainement pour voir concrètement la marque d’aucy accompagner les Rebelles, sur le terrain ou lors de dégustations…

Site internet : https://www.eureden.com

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Rendez-vous à Verdun Expo !



Du 15 au 17 septembre, les équipes du Groupe EMC2 seront présentes au sein du village agricole de Verdun Expo. Au programme de cette année : partage, convivialité et épreuves sportives !

Pour cette 42e année, le thème de la foire est « La Meuse vous déclare sa flamme » une édition sportive en perspective !

L’occasion pour nos équipes de mettre au défi les visiteurs de la foire autour d’animations sportives issues ou inspirées du monde agricole.

Au programme :  

  • L’accueil des scolaires vendredi après-midi pour présenter et faire découvrir les métiers du groupe EMC2 
  • Des animations sportives : Vitesse, force, endurance ou encore esprit d’équipe, à vous de battre tous les records ! 
  • Un photo Booth pour immortaliser vos plus belles victoires 

Et pour celles et ceux qui préfèrent le réconfort à l’effort, une dégustation des produits issus de la coopérative est toujours prévue.

Site internet : https://www.emc2.coop

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les collectifs EXPEA

Expérimentations en Agroécologie


 

Les collectifs EXPEA (Expérimentations en Agroécologie) visent à identifier les pratiques améliorant la fertilité des sols et la rentabilité des exploitations. Répondant ainsi aux objectifs du pacte "Notre eau, notre avenir" pour accélérer les transitions agroécologiques dans les filières agricoles, cette action est financée avec le concours de l'agence de l'eau Adour-Garonne.

Des exploitations plus résilientes

LE MONDE agricole fait face à de nombreux défis : changement climatique, pression réglementaire, attentes sociétales sur ses modèles de production… Pour y répondre et dans le cadre de sa démarche RSE Terroirs Durables, le groupe Terres du Sud s’engage à accompagner les agriculteurs vers des solutions durables qui favorisent la résilience des exploitations agricoles.

À travers les collectifs EXPEA, le groupe Terres du Sud a choisi de travailler sur le principal capital des agriculteurs : le sol. Une meilleure structure du sol et une meilleure activité biologique permettent de stocker davantage d’eau et d’avoir de meilleurs échanges d’éléments nutritifs sol-plante.

Réunissant des agriculteurs volontaires de toutes les filières : grandes cultures en conventionnel, grandes cultures en Bio, arboriculture, viticulture, et légumes d’industrie, et de tous nos terroirs, ces groupes de travail sur plusieurs campagnes ont été conçus pour apporter des réponses concrètes aux préoccupations soulevées par les agriculteurs eux-mêmes.

Un dispositif pluriannuel de financement des expérimentations ainsi que des moyens techniques (semences, analyses de sols…) et un accompagnement agronomique sont proposés. Le principe : mettre en place des pratiques adaptées aux besoins de chacun, collecter des informations précises, suivre des indicateurs choisis par les participants et restituer collectivement les résultats obtenus. Le but : améliorer les taux de matières organiques dans leurs sols et résoudre les freins agro-économiques sur les exploitations.

Un accompagnement technique et financier

DEPUIS janvier 2023 plus d’une trentaine de producteurs en grandes cultures conventionnelles ou bio et fruits et légumes de plein champ pour l’industrie ont rejoint les collectifs EXPEA. Ils sont répartis en 5 groupes suivant les spécificités de leur terroir. Pour chaque parcelle engagée, un diagnostic initial est réalisé : analyses de sol avec le laboratoire Celesta-Lab, relevés de la flore adventice problématique, analyse de la structure du sol.

Chaque agriculteur est aussi accompagné par un technicien qui réalise l’expertise et le suivi agronomique, anime les groupes de travail, collecte et analyse des données, assure les bilans annuels et la restitution des résultats. Les semences de couverts végétaux, les analyses de sol, les traitements expérimentaux le cas échéant et les formations sont pris en charge dans le cadre des collectifs EXPEA. Du matériel spécifique pourra également être mis à disposition par Delta Sud.

Ces coûts d’expérimentation font l’objet d’une prise en charge à 50 % par des subventions de la part de l’Agence de l’eau Adour-Garonne, le reste étant financé par le groupe Terres du Sud.

Des indicateurs suivis durant les 5 ans

Afin d’accélérer la transition des exploitations vers des solutions plus vertueuses, l’objectif est de tester différentes pratiques en agro-écologie. Pour cela des indicateurs précis répondant à des problématiques agronomiques mais aussi économiques seront suivis pendant 5 années.

PROBLÉMATIQUES AGRONOMIQUES : 

  • Adventices problématiques invasives et résistantes : densités de levées après semis et avant récolte, indicateur de fréquence de traitements phytosanitaires (IFT)
  • Compaction et fertilité des sols : taux de matière organique libre et liée, biomasse microbienne globale, potentiel de minéralisation du carbone et de l’azote, résistance à la pénétration des racines des végétaux, reliquats azotés captés par les couverts d’interculture

PROBLÉMATIQUES ÉCONOMIQUES :

Gestion de l’irrigation : consommation intermédiaire en €/ha
Optimisation des charges et intrants : consommation intermédiaire en produits de protection des plantes, consommation d’engrais azoté, consommation de GNR
Création de valeur : valeur ajoutée brute par culture dans une rotation définie et valeur ajoutée de l’ensemble des rotations

Le suivi de ces indicateurs permettra de :

  • regrouper des données précises sur une période significative
  • démontrer la rentabilité économique de ces pratiques et leur résilience dans un contexte climatique, économique et social en constante évolution
  • réduire la prise de risque économique et financière des agriculteurs dans la transition de leurs pratiques

Le but : trouver et valider des pratiques agroécologiques relativement faciles à mettre en place et améliorant la fertilité des sols, afin qu’elles puissent être déployées par le plus grand nombre d’agriculteurs adhérents.

Site internet : https://www.groupe-terresdusud.fr

nouvmageuralis

Le Point Vert de Lescar

se réinvente



Euralis Distribution fait évoluer son magasin Point Vert de Lescar et propose désormais trois enseignes sur un même lieu de vente : Point Vert, La Table des Producteurs et, c’est nouveau, Terranimo. Ce concept multi-marques  offre plus d’expertise et de praticité pour le client et une gamme de produits plus large. Il s’agit du tout premier magasin 3 enseignes en France au sein du réseau Point Vert comptant 418 magasins.

L’enseigne Point Vert située à Lescar (64), ce sont plus de 2 000 m2 situés au cœur d’une zone commerciale dynamique. Ouvert en 1997, le magasin propose une offre large : jardinerie, animalerie mais aussi motoculture, bricolage, habillement, conserves et élevage. Depuis 2012, il a élargi son offre en proposant des produits alimentaires locaux en circuit court (volaille, viande, charcuterie, fromage, crèmerie, épicerie salée et sucrée, vin, boissons alcoolisées et non alcoolisées…) sous la marque « La Table des Producteurs ».  Qualité et traçabilité sont les deux maîtres-mots de ce rayon légitimé par le statut de coopérative agricole d’Euralis. Au total, l’enseigne référence environ 500 producteurs fermiers.

Désormais, une troisième marque est proposée en magasin : Terranimo. Il s’agit d’une enseigne spécialisée en animalerie qui commercialise des aliments, des équipements, des accessoires et des produits de soin d’hygiène pour animaux de compagnie.

Trois magasins en un

Il s’agit de proposer trois magasins dans un seul et donc d’offrir un parcours clients plus segmentant et attractif affichant le positionnement d’expert du magasin. « Nous voulons offrir à nos clients la possibilité de faire des achats centrés autour du bien-être. Cela passe par nos produits alimentaires en circuit court « La Table des Producteurs », sains et de saison, une nourriture de qualité pour les animaux de compagnie, et enfin tout le nécessaire pour aménager son jardin et en faire un lieu de vie agréable. Le tout en un même lieu, en bénéficiant d’une grande variété de produits et de conseils de spécialistes » précise Benoît Barron, Directeur Euralis Distribution. «  C’est aussi l’opportunité de mettre nos marques en synergie, dans le respect de l’identité et du concept de chacune. Nous veillerons bien entendu à organiser nos communications omni canal, cible par cible, pour être plus efficaces et plus pertinents dans nos campagnes de marketing clients ».

Possibilité de se franchiser

Euralis Distribution, c’est l’activité Distribution grand public de la Coopérative Euralis. Fidèle à ses valeurs et à son ancrage territorial et agricole, elle manage deux enseignes nationales sur son territoire  – Point Vert et Terranimo –  et une locale – La Table des Producteurs. Elle propose aux indépendants de se franchiser sur l’une ou l’autre de ces enseignes. Les arguments pour se lancer sont nombreux : depuis la crise sanitaire du Covid, les consommateurs se recentrent sur le budget maison (jardinage, animalerie, etc…) et on constate par ailleurs un besoin d’authenticité, de local, et un engouement pour les produits en circuit court. Les chiffres confirment ces tendances : + 16,2 % de croissance pour Point Vert entre 2019 et 2022 et sur la même période + 36,2 % pour la « Table des Producteurs » sur des marchés stables. De la même façon, le marché du petfood se porte bien : avec 75 millions d’animaux de compagnie en France, il affiche une croissance de 6,9% en 2022 (source : Promojardin-Prom’animal, 2023).

Site internet : https://www.euralis.fr