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Vie des entreprises

bandoeuralis1083

Assemblée Générale



Bilan de l’activité et réflexion autour de la décarbonation

L’AG d’Euralis s’est tenue le 9 février.

Temps fort de la vie coopérative, l’Assemblée Générale d’Euralis s’est déroulée le vendredi 9 février, en présence d’un public nombreux composé notamment d’agriculteurs adhérents et de délégués de section.

La partie statutaire, comportant la présentation des comptes et le vote des résolutions, a laissé place à une plénière consacrée au thème de la décarbonation.

La problématique a été introduite par Nelly Recrosio, Directrice Marché d’Affaires en charge du sujet décarbonation des entreprises chez EDF. 

Ensuite, plusieurs experts ont débattu à l’occasion d’une table-ronde et évoqué les différentes actions mises en œuvre autour de la décarbonation dans le secteur agricole et plus particulièrement chez Euralis :

  • Carole LEJEUNE, Responsable Carbone à la Coopération Agricole
  • Olivier Tillous-Borde, Directeur Transformation et Développements Stratégiques du Groupe
  • Anne-Claire Richard, Directrice Marketing et Innovation du Pôle Agricole
  • Céline Cauhapé, Satisfaction Client Leader chez Lidea.

Cette table-ronde est accessible en replay ici.

filière du houblon



Brasseries Kronenbourg et la Fondation Brasseries Kronenbourg,
5 ans d’engagement en faveur de la filière du houblon

A l’occasion des premières Rencontres du Houblon qui se tiennent à Nantes les 1er et 2 février, Brasseries Kronenbourg et la Fondation Brasseries Kronenbourg ont rappelé, lors d’une table ronde, leurs engagements depuis 2019 dans trois projets majeurs en faveur de la filière du houblon : en tant que 1er débouché des houblonniers alsaciens (près de 70% de la production française de houblon), principalement à travers sa marque 1664, le brasseur a soutenu ces cinq dernières années le programme de recherche variétale du Comptoir Agricole à hauteur de 300 K€. En parallèle, la Fondation Brasseries Kronenbourg a initié et financé à hauteur de 225 K€ le projet Agrohoublon, destiné à promouvoir de développement de pratiques agroécologiques dans la culture du houblon. Enfin, elle s’est aussi engagée dans un projet de houblonnière de rupture porté par le Lycée Agricole d’Obernai, à hauteur de 100 K€. Au total sur ces cinq dernières années, Brasseries Kronenbourg et sa Fondation d’entreprise ont investi 625 K€ dans le soutien à la filière du houblon.

A l’occasion des premières Rencontres du Houblon qui se tiennent à Nantes les 1er et 2 février, Brasseries Kronenbourg et la Fondation Brasseries Kronenbourg ont rappelé, lors d’une table ronde, leurs engagements depuis 2019 dans trois projets majeurs en faveur de la filière du houblon : en tant que 1er débouché des houblonniers alsaciens (près de 70% de la production française de houblon), principalement à travers sa marque 1664, le brasseur a soutenu ces cinq dernières années le programme de recherche variétale du Comptoir Agricole à hauteur de 300 K€. En parallèle, la Fondation Brasseries Kronenbourg a initié et financé à hauteur de 225 K€ le projet Agrohoublon, destiné à promouvoir de développement de pratiques agroécologiques dans la culture du houblon. Enfin, elle s’est aussi engagée dans un projet de houblonnière de rupture porté par le Lycée Agricole d’Obernai, à hauteur de 100 K€. Au total sur ces cinq dernières années, Brasseries Kronenbourg et sa Fondation d’entreprise ont investi 625 K€ dans le soutien à la filière du houblon.

Développer la recherche variétale

En 2019, Brasseries Kronenbourg s’est associé au programme de recherche variétale mené par le Comptoir Agricole (ex Cophoudal), avec pour objectif de développer de nouvelles variétés de houblon répondant à la fois à des enjeux agronomiques et pédoclimatiques, mais également aux besoins du marché brassicole.
Le soutien de Brasseries Kronenbourg consistait à tester différentes variétés de houblons sur plusieurs années consécutives. Ainsi, de 2019 à 2023, 35 « candidats » issus de croisements, puis d’essais en champs à petite puis à plus grande échelle ont été testés sur les critères brassicoles et organoleptiques.

Sur les 35 « candidats » testés, deux ont présenté des profils intéressants et stables d’une année à l’autre. Ce ratio démontre toute la complexité inhérente à la création variétale, qui doit répondre à une multitude de critères brassicoles et agronomiques pour être officiellement classée dans la nomenclature des houblons. Une de ces 2 variétés est en cours d’inscription au catalogue national des variétés françaises.

Brasseries Kronenbourg a mis à disposition ses équipes, son matériel et surtout son expertise au service de la recherche, pour un montant de 300 K€.

Générer de la connaissance sur la culture du houblon en agroécologie

En collaboration avec le lycée agricole d’Obernai, l'association des producteurs de houblon d'Alsace (APHA), et l’association Pour une Agriculture Du Vivant (PADV), la Fondation Brasseries Kronenbourg a initié un projet expérimental afin de générer des connaissances sur les pratiques agroécologiques dans la culture du houblon, et accompagner ainsi la filière à être mieux préparée aux défis climatiques.
Pendant 5 ans, neuf houblonniers volontaires Alsaciens ont été soutenus et suivis afin de mettre en place des essais de nouvelles pratiques de culture agroécologique et des analyses de sol, de l'activité biologique & des équilibres chimiques.
En outre, ces houblonniers ont bénéficié de formations et de voyages d’étude.
Ces actions ont permis la rédaction d’un état de l’art de pratiques culturales agroécologiques spécifiques au houblon. Celui-ci porte notamment sur le travail et la couverture du sol, le stockage du carbone, la fertilisation, la gestion phytosanitaire ainsi que la biodiversité. En outre, il inclue des critères d’évaluation de la performance agroécologique (indice de Régénération) permettant une intégration future dans les cahiers des charges.

Cet état de l’art va à présent être mis à disposition de toute la communauté des houblonniers français via l’interprofession Interhoublon, afin d’enrichir les connaissances de l’ensemble de la filière. Il a reçu une subvention de France Agrimer, dans le cadre de l’appel à projet HOP LAUNCH.

La Fondation Brasseries Kronenbourg a dédié 225 K€ à ce programme.

Soutenir les travaux sur la houblonnière de rupture

Initié en 2020, le projet de houblonnière de rupture est un projet de recherche visant à réinventer le mode de production du houblon, en recréant son milieu naturel - la ripisylve, (ensemble des arbres, arbustes, buissons qui se trouvent aux abords d'un cours d'eau) - et en introduisant des pratiques agroécologiques, à savoir : couverture semi-permanente des sols, réduction du travail du sol et introduction de l’arbre et de l’animal.
Mené avec de nombreux partenaires locaux et européens, ce projet a pour ambition de permettre à la culture du houblon d’être plus résiliente face au changement climatique, de le limiter, d’améliorer les conditions de production et de mieux valoriser le houblon produit.

Il repose sur deux axes de travail :

  • En premier lieu, sécuriser la production en anticipant les problématiques futures liées au réchauffement climatique, à la disponibilité des ressources et à leur qualité ;
  • A plus long terme, expérimenter un système de houblonnière, qui permette tout à la fois de stocker du carbone, restaurer la fertilité des sols, optimiser l’utilisation de l’eau, introduire plus de biodiversité et réduire les intrants chimiques tout en maintenant les rendements.

La houblonnière a bénéficié d’un soutien de 100 K€ de la part de la Fondation Brasseries Kronenbourg.

A travers leur soutien à ces trois initiatives complémentaires, Brasseries Kronenbourg et la Fondation Brasseries Kronenbourg se sont engagées pour aider la filière à s’adapter aux défis du changement climatique.

Site internet : https://www.kronenbourg.com

prêt “PACT Carbone”




 

Vivadour souscrit à un prêt “PACT Carbone” de 2 M€ auprès d’Arkéa Banque Entreprises et Institutionnels et poursuit son engagement vers une agriculture plus durable et décarbonée

Vivadour, groupe coopératif agricole et agroalimentaire du Gers, franchit une étape supplémentaire dans sa stratégie en matière de transition environnementale, en souscrivant à un prêt “PACT Carbone” de 2 M€ auprès d’Arkéa Banque Entreprises et Institutionnels, la filiale du groupe Crédit Mutuel Arkéa dédiée au financement des entreprises, des institutionnels et des professionnels de l’immobilier. Objectif : prendre des mesures concrètes pour réduire son empreinte carbone et répondre ainsi aux nouveaux enjeux environnementaux et sociétaux de demain.

Depuis plus de 30 ans, Vivadour structure les filières agricoles de son territoire en agro-chaînes, dans une démarche durable et vertueuse. Autour de six filières (les métiers du grain et de l’agrofourniture, les productions animales, les semences, la viticulture, la distribution spécialisée et l’environnement, énergies et innovations), le Groupe affiche l’ambition d’agir positivement sur la structuration de son territoire, pour toutes les agricultures, au bénéfice de l’économie locale.

Défendre les intérêts des agriculteurs, contribuer au développement du territoire, assurer la sécurité et l’épanouissement de ses collaborateurs, limiter son impact environnemental et respecter les intérêts et les valeurs de ses parties prenantes sont des préoccupations fortement inscrites dans l’ADN du Groupe Vivadour. Très impliqué en matière de stratégie RSE (gestion et préservation des ressources en eaux, nouvelles techniques agronomiques, réalisation d’un premier bilan Carbone en 2021, ...), il avait déjà souscrit à un prêt “PACT Trajectoire ESG” de 3 M€ auprès d’Arkéa Banque Entreprises et Institutionnels en 2021 et avait obtenu un score EthiFinance1 de 70/100, soit 7 points au-dessus du benchmark sectoriel. En 2023, le Groupe avait augmenté son score de 4 points.

Dans le cadre de son plan stratégique “Ambitions 2025”, Vivadour franchit un cap supplémentaire dans sa démarche RSE et souscrit cette fois à un prêt “PACT Carbone” de 2 M€. Ce crédit va permettre au Groupe d’accélérer son adaptabilité et son développement en matière de transition agricole, d’évolution des attentes sociétales et environnementales ou encore de changement climatique et d’évolutions réglementaires.

Laurent Coulamie, Responsable de clientèle au Centre d’affaires entreprises de Toulouse d’Arkéa Banque Entreprises et Institutionnels, déclare : « Prendre en compte les grands enjeux sociétaux et environnementaux de nos territoires, c’est ce qui inspire notre approche vis-à-vis de nos clients. Dès lors, face à l’urgence climatique, Arkéa Banque E&I affiche clairement son ambition d’accompagner les acteurs de l’agriculture dans leur transition environnementale en mettant à leur disposition un dispositif ESG global. Nous sommes heureux de pouvoir accompagner Vivadour qui va pouvoir consolider sa volonté de décarboner l’ensemble de son modèle d’affaires. »

Florent Estebenet, Président de Vivadour, ajoute : « Le contexte global dans lequel nous évoluons nous démontre chaque jour notre rôle pour accompagner l'agriculture dans ses transitions économiques, environnementales et sociétales. Nous sommes heureux qu’Arkéa Banque Entreprises et Institutionnels nous accompagne dans notre souhait de contribuer à placer au cœur de notre activité des mesures concrètes de décarbonation et permettre de promouvoir des pratiques agricoles plus respectueuses de notre environnement. »

Le prêt « PACT Carbone » : un dispositif innovant au service de la décarbonation

Accessible dès 2 M€ sur une durée comprise entre 5 et 20 ans, le prêt « PACT Carbone » prévoit une bonification si l’emprunteur réduit l’intensité carbone de son modèle d’affaires. De plus, une sur- bonification est également prévue pour les clients qui parviennent à s’aligner avec la trajectoire 1,5 degré de l’accord de Paris ; l’ensemble des bonifications pouvant atteindre jusqu’à 20% d’économie sur les frais financiers. Afin de garantir la neutralité des évaluations, « PACT Carbone» s’appuie sur l’organisme indépendant « Carbometrix ». Celui-ci mesurera les progrès bi-annuels de l’entreprise, qui feront l’objet d’un rapport remis et commenté au client par la banque.

1. Agence indépendante de notation extra-financière

Site internet : https://www.vivadour.coop

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Océalia et Alicoop

soutiennent les Ovinpiades



Océalia et Alicoop s’associent avec le Comité Inn’Ovin (Nouvelle-Aquitaine) dans le cadre des Ovinpiades.

Les Ovinpiades des Jeunes Bergers de Nouvelle-Aquitaine édition 2024 et sélection « Territoire Limousin » ont eu lieu le 31 janvier dernier sur la ferme expérimentale du CIIRPO (87). Au cours de cette journée, trente-quatre apprenants de différents établissements ont pu concourir lors de huit épreuves. A l’issue de ces affrontements, un classement est effectué. Le troisième prix remporté par Jean MATHIVET (EPL Ahun) était parrainé par Océalia et Alicoop.

La participation de la Coopérative et sa filiale a permis de récompenser tous les apprenants, de renouveler notre soutien à la filière ovine ainsi qu’à nos adhérents mais aussi de nous offrir de la visibilité à toute échelle.

Ces Ovinpiades se poursuivent avec la finale nationale à Paris au Salon International de l’Agriculture le 24 février à laquelle deux des participants auront la chance de se rendre. Si la finale se tient à Paris, les Ovinpiades reviennent rapidement dans la région au CIIRPO les 26 et 27 mai prochains pour la première étape des Ovinpiades Mondiales. Celles-ci sont de retour après plus de dix ans d’absence et avec déjà quinze pays inscrits.

Site internet : https://www.ocealia-groupe.fr

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Rencontre avec notre berger

sur le site de La Pallice



Les animaux qui pâturent et désherbent nos espaces verts proches des silos se portent à merveille depuis la fin juillet 2023.

Le berger qui en a la charge, vient rendre une visite au troupeau deux fois par mois environ afin de contrôler la bonne santé des moutons, les clôtures et l’état végétal des différents espaces. Ils disposent d’un abri mais ne l’utilisent que légèrement en été contre les ardeurs du soleil et très peu l’hiver, grâce à leur rusticité. Rien de particulier à faire en plus durant cette période, en été il sera juste nécessaire de fournir suffisamment d’eau. Les ronciers et les graminées composent le reste de leur alimentation, il y a sur nos espaces suffisamment de végétation pour les 24 béliers d’Ouessant. Très bientôt le cheptel devrait augmenter avec une quinzaine d’animaux supplémentaires pour encore davantage assurer sa mission de parfaite tonte.

Cette semaine, légère perturbation pour 6 d’entre eux qui vont rejoindre le reste du troupeau de l’autre côté de la route afin de permettre le lancement du chantier de démantèlement et reconstruction, aux abords du silo Bertrand II récemment impacté par un incendie. Cette minuscule transhumance devrait se dérouler sans encombre.

Merci à notre berger, Mr Pannetier.

Site internet : https://www.sica-atlantique.com