Anciens numéros

S'abonner à l'hebdo

Pour vous abonner à l'hebdo des coops métiers du grain, dont la diffusion est réservée aux adhérents de Coop de France et à son réseau, merci de remplir et de valider le formulaire ci-dessous.

obligatoire




Valider

Déclaration CNIL
Coop de France met en place un traitement de données à caractère personnel dans le cadre de ses missions d'assistance et d'information aux coopératives adhérentes. Ces données sont collectées lors de votre adhésion, des missions de conseil que nous réalisons ou lorsque vous remplissez ce formulaire et sont destinées aux employés de Coop de France exclusivement. Elles sont par ailleurs contrôlées annuellement. Conformément à l'article 32 de la loi du 6 janvier 1978, vous disposez d'un droit d'accès, de rectification et de suppression des données vous concernant. Ce droit peut être exercé auprès de Nicolas Gremont, au service informatique à l'adresse suivante : nicolas.gremont@coopdefrance.coop.

Partager la page

Vie des entreprises

méthanisation



Le modèle de méthanisation d’EMC2 permet d’économiser 95% de gaz à effet de serre !

La coopérative s’est engagée dans une démarche volontaire d’audit de son unité de méthanisation de Landres dans le cadre de la directive Red 2. En se basant sur différents critères de durabilité des bioénergies, cette certification permet de justifier la réduction de gaz à effet de serre par rapport à l’utilisation d’énergies fossiles et donc de prouver l’impact positif du modèle sur l’environnement. C’est l’organisme indépendant Control Union qui a assuré cette certification de durabilité du biométhane en auditant tout le process de production de l’unité de Landres.

Quels sont les éléments audités ?

L’organisme a analysé l’empreinte carbone réelle générée par tous les apports ainsi que l’empreinte carbone générée par le process de transformation et l’exploitation de l’unité.
Lors de cet audit, l’impact carbone a été calculé pour :

Les effluents (qui représentent plus de la majorité des apports) : il contrôle la provenance et la manière dont est valorisé le digestat par les éleveurs.
Les apports de matière végétale : calcul de toutes les émissions de gaz à effet de serre générées par la production (intrant, fertilisant, travail sur la parcelle, récolte et transport). Control Union vérifie que chaque intrant est durable.
La phase process et exploitation : il analyse d’abord les méthodes de travail des équipes pour s’assurer qu’elles soient conformes. L’organisme contrôle aussi la consommation de l’unité, l’empreinte de son fonctionnement (consommation en eau, en électricité, en gaz…).

Un résultat très positif !

Aujourd’hui l’unité de Landres produit 1 533 000 m3 de biométhane par an.
Pour produire ce gaz, elle émet 269 tonnes de CO2.
L’acheminement du même volume de gaz fossile aurait émis 5 280 tonnes de CO2.
La production de biogaz à Landres permet donc une économie de 95% de gaz à effet de serre ! Preuve de plus que le modèle de méthanisation d’EMC2 est vertueux et durable.


Un résultat encourageant pour les agriculteurs et pour les équipes !

« Cet audit s’est déroulé sur 9 mois, c’est un travail méticuleux et rigoureux qui a mis à contribution tous les acteurs du projet. Il faut saluer l’investissement de toute l’équipe méthanisation et surtout l’engagement de nos 18 agriculteurs apporteurs qui ont contribué à la réussite de cet audit. C’est important pour nous de pouvoir prouver que notre modèle est durable. Avec tout ce qu’on peut entendre ou lire sur la méthanisation, les résultats de cet audit sont sans équivoques ; 95% de gaz à effet de serre économisé par rapport au gaz fossile, c’est un chiffre qui devrait mettre fin aux débats. ». Mathieu Kimenau, Responsable Activité Méthanisation pour le Groupe EMC2

Site internet : https://www.emc2.coop

NEGOCIATION EXCLUSIVE




Sanders en négociation exclusive pour la reprise des activités de nutrition animale de Soufflet Agriculture

Sanders, filiale d’Avril, annonce ce jour, être entré en négociation exclusive avec Soufflet Agriculture, groupe InVivo, pour la reprise de ses activités de nutrition animale incluant le site de Talmont-Saint-Hilaire (Vendée).

Partenaires depuis 2005, ce projet confirme l’engagement conjoint de Sanders et Soufflet Agriculture, au service de filières d’élevage dynamiques en France et de la souveraineté alimentaire.

Cette opération s’inscrit pleinement dans la stratégie de Sanders de soutien aux éleveurs, en leur donnant les moyens de s’ancrer dans leurs territoires et en confortant le lien végétal- animal au service de filières animales durables.

Pour Philippe Manry, Directeur Général Sanders « Ce rachat s’inscrirait dans la continuité des activités historiques de Soufflet Agriculture sur le site de Talmont-Saint-Hilaire. Chez Sanders, nous nous engageons dans tous les territoires, pour valoriser les filières d’élevage. Ce projet s’intègre particulièrement dans les actions de Sanders en faveur de l’avenir des filières bovins viande et lait. »

Pour Christophe Passelande, directeur de Soufflet Agriculture « L’acquisition par Sanders de notre activité nutrition animale s’inscrirait dans la continuité des relations partenariales entre Avril et le groupe InVivo depuis 2005. L’activité de Nutrition Animale de Soufflet Agriculture est reconnue pour son savoir-faire et ses formulations qui lui permettent de proposer des solutions propres à répondre aux objectifs spécifiques des éleveurs. Ce projet valoriserait le savoir-faire des équipes en place et renforcerait la position commerciale de Sanders. »

Soufflet Agriculture commercialise 70 000 tonnes d’aliments composés en France notamment en Vendée.
L’activité nutrition animale de Soufflet Agriculture compte vingt et un collaborateurs dont onze technico-commerciaux. L’expertise technique reconnue de cette équipe en bovin-viande pourra rayonner sur l’ensemble du territoire français.

Avec le site industriel de Talmont-Saint-Hilaire qui fabrique 45 000 tonnes de mash par an, Sanders renforce son offre de solutions performantes pour l’ensemble des éleveurs clients. Tous les contrats en cours avec les éleveurs partenaires de Soufflet Agriculture seront bien évidemment poursuivis aux conditions prévues.

La réalisation de ce projet est soumise à l'information-consultation des représentants du personnel, ainsi qu'à l'autorisation de l’autorité de la concurrence.

Sites internet : www.sanders.fr ; invivo-group.com

dotation élevage



Plus d’un million d’euros de
Dotation Élevage accordé par Cavac

en 18 mois

Par Fabien Picard, directeur économie et projets sur les exploitations

Depuis début 2022, c’est-à-dire en 18 mois, la coopérative a accordé plus d’un million d’euros en « dotation élevage » pour accompagner la reprise de 118 exploitations du territoire, avec de l’élevage. Avec près de 60 % de cette enveloppe, orientée vers les bovins (viande et lait) et près de 30 % vers les petits ruminants (brebis laitières, ovins viande et caprins). Un chiffre qui est allé au-delà des hypothèses initiales alors même que le contexte sanitaire en volailles n’a pas permis de développement sur les espèces concernées.

À travers cette mesure, Cavac démontre sa stratégie pour défendre l’élevage et témoigne de son profond ancrage territorial.

L’enveloppe est d’autant plus remarquable que, rappelons-le, la dotation est une aide directe de la coopérative et non-pas une avance remboursable ; d’autant plus remarquable également que cette mesure vient en supplément de « Plans Avenir Élevage » déclinés sur la plupart des espèces et permettant d’accompagner les installations via des filets de sécurité au niveau des marges, des avances remboursables & financement de cheptel, des caisses de péréquation, etc.

Malgré cela, bon nombre d’éleveurs continuent à éprouver des difficultés pour trouver un successeur motivé. Les évolutions erratiques des prix des céréales démontrent pourtant que le modèle polyculture-élevage reste le plus résilient dans la durée, notamment sur les secteurs de bocage.

Alors soyez Mesdames et Messieurs les éleveurs et éleveuses, nos meilleurs ambassadeurs. N’hésitez pas à proposer aux jeunes qui se posent des questions pour s’installer, de se rapprocher de nos équipes pour approfondir leur projet. Et ce sans aucune forme d’engagement.

Site internet : https://www.coop-cavac.fr/

Impact carbone



CHOCAPIC® créé un jeu interactif pour apprendre, en s'amusant, à adopter les bons gestes

Après sa campagne « Drôlement plus responsable », CHOCAPIC® revient sur le devant de la scène avec le 1er jeu en réalité augmentée de la catégorie des céréales.

Engagé depuis plusieurs années dans la mise en place de
pratiques agricoles et industrielles plus responsables et œuvrant au quotidien pour réduire son impact carbone, CHOCAPIC® est allé encore plus loin cette année avec la création d’un jeu unique en son genre : Pico vs. Carbon Monsters* ! Un jeu fun et ludique, mettant en scène Pico, la mascotte de CHOCAPIC® pour aider tous les consommateurs, dès leur plus jeune âge, à réduire leur empreinte carbone.

UNE IDÉE CRÉATIVE NÉE D’UN SIMPLE CONSTAT : CHAQUE GESTE COMPTE AU QUOTIDIEN

Sortir de sa chambre et oublier une lumière allumée, partir en
vacances et jeter des aliments qui risquent de périmer, laisser des prises branchées toute la journée… Des situations qui cachent un impact carbone non négligeable, mais que l’on pourrait facilement réduire si on parvenait à le rendre visible pour tous !

C’est en se basant sur ce constat que CHOCAPIC® a eu l’idée de personnifier les sources d’émissions carbone en leur donnant la forme de « monstres » cachés dans nos maisons et que l’on peut découvrir au travers d’un jeu en réalité augmentée ludique, immersif et pédagogique. Lumino Carbo, Electro Carbo, Carb’ordure, Carbo Celsius, Carb’o chaude, Carbouffe et King Carbo. Voici donc les sept monstres que Pico, la mascotte de CHOCAPIC®, devra mettre hors d’état de nuire tout au long de sa nouvelle aventure !

Pour la première fois, à partir du mois d’août, les paquets de céréales CHOCAPIC® intégreront un QR code donnant accès, gratuitement, au jeu en ligne Pico vs. Carbon Monsters*.

Une fois le jeu lancé, Pico guidera petits et grands fans de la marque en leur expliquant comment attraper les Carbon Monsters* : « Empêche Lumino Carbo de laisser la lumière allumée ! Appuie sur les ampoules pour les éteindre ». Et voici comment l’astuce de Pico permet non seulement de battre Lumino Carbo, mais aussi de découvrir les bons gestes applicables dans la vie de tous les jours pour contribuer à réduire notre empreinte environnementale.

Une façon originale de sensibiliser les familles à des problématiques variées, telles que la sobriété énergétique, le gaspillage alimentaire ou encore la préservation des ressources, tout en les invitant à s’amuser.

Offrant une dimension active aux familles (grâce à la réalité augmentée), le jeu est aussi limité à un seul monstre par jour (14 étapes au total), réduisant ainsi le temps d’écran et laissant aux familles le temps d’avoir un moment d’échange sur la mise en pratique de ces bons gestes du quotidien.

Pour plus d’infos : https://www.nestle-cereals.com/fr/nos-engagements/meilleur-pour-la-planete ; https://www.nestle-cereals.com/fr/blog/meilleur-pour-la-planete/plan-cacao

inauguration-pauvres-1307-2

Inauguration



Néalia et Sanders inaugurent une nouvelle plateforme d’aliments composés humides sur le site de Pauvres

Ce jeudi 13 juillet, la nouvelle plateforme d’aliments composés humides de Pauvres (08) a été inaugurée en présence de M. le Préfet des Ardennes, d’élus et des dirigeants d’Aliane, Sanders, Néalia et des Groupes VIVESCIA et Avril.

Au travers de leur filiale industrielle Aliane, détenue à parité, Néalia et Sanders investissent 5 millions d’euros pour renforcer leur activité de production d’aliments humides, accélérer la transition agro-écologique, améliorer la compétitivité et la souveraineté alimentaire de nos territoires.

Le projet, par sa nature et son implantation sur le site de Pauvres, a bénéficié d’une subvention dans le cadre du plan France Relance. Cette inauguration confirme la place essentielle du pays Rethélois comme un « hub industriel » de l’alimentation animale, fidèle aux principes de l’économie circulaire.

Alain Bucquet, Préfet des Ardennes, a déclaré : « Je suis très fier d’être parmi vous dans cette aventure collective, industrielle et agricole, soutenue par l’Etat via le plan France Relance. Ce projet répond à un besoin de préservation de l'environnement, d'économie circulaire et de décarbonation, mais aussi de performance économique pour notre territoire. »

 
Une capacité de production doublée pour mieux répondre aux besoins du territoire 

Avec la construction du site Aliane de Pauvres, Néalia renforce sa position de leader sur le marché de l’aliment composé humide. La plateforme construite en 2011 voit ainsi sa capacité doublée à 200 000 tonnes par an, pour une montée en puissance à 250 000 tonnes à l’horizon 2027. Deux ateliers sont inaugurés : le premier dédié à la Nutrition Animale produira des mélanges alimentaires pour les ruminants lait et viande des régions Grand-Est et Hauts de France (3 000 éleveurs concernés) et l’élevage d’insectes. Le second sera au service de la méthanisation agricole (250 unités concernées).

Cette extension répond à un fort besoin sur le territoire. Les formulations proposées ont séduit un nombre croissant d’éleveurs, et un nouveau marché s’est ouvert avec les mélanges humides pour la méthanisation qui représentent une production de 50 000 tonnes supplémentaires. Enfin, de nouveaux élevages se développent avec la filière « insectes ». Un partenariat avec Agronutris a notamment été conclu sur la fourniture de 40 000 tonnes par an d’aliments humides qui seront livrés directement à Rethel, sur son nouveau site de production de protéines à base d'insectes inauguré fin juillet 2022. 

Le site de Pauvres est proche des bassins de consommation des clients sur ces 3 marchés (ruminants, méthanisation, insectes) mais aussi proche des « gisements » de matières premières : 75% des coproduits français émanent de l’agro-industrie du quart Nord-Est du pays car c’est là que bon nombre d’industries, dont VIVESCIA, sont implantées. Le site bénéficie également d’une complémentarité avec Luzeal (valorisation de la luzerne) et l’UMAP (Unité de Méthanisation Agricole de Pauvres).

Armand Barré, Directeur Général de Néalia, a déclaré : « Convaincu de l’intérêt de ce modèle de nutrition animale, Néalia a osé lancer cette activité d’aliments composés humides en 2008. Depuis 14 ans, Néalia n’a cessé d’améliorer son expertise, depuis la connaissance précise des différentes ressources (coproduits des industries et matières végétales) jusqu’à la qualité des formules proposées aux éleveurs. Grâce à la pertinence technico-économique pour de nombreux élevages et à la facilité de mise en œuvre, les volumes ont progressé d’année en année. L’arrivée de la nouvelle plateforme de production permet à Néalia de poursuivre son développement en nutrition des ruminants, de continuer à proposer aux méthaniseurs des compléments, mais aussi d’assurer l’alimentation de l’unité de production d’insectes d’Agronutris (Rethel). L’outil vient également renforcer la maitrise de la sécurité sanitaire des aliments mis en marché et la capacité pour Néalia d’apporter des solutions intéressantes aux éleveurs pour répondre aux cahiers des charges Non-OGM. »  

Pour Philippe Manry, Directeur Général de Sanders : « Pour Sanders, expert de la nutrition animale ce nouvel outil industriel s’inscrit dans notre volonté de compléter notre offre de solutions auprès de nos 2 600 éleveurs clients ruminants sur les régions Hauts de France et Grand Est. Chez Sanders, nous croyons en l’avenir de l’élevage qui passe par sa décarbonation. Cet investissement commun favorise le développement des filières locales en renforçant le lien du sol à l’animal. »

Un nouveau site qui répond aux enjeux d’économie circulaire et de compétitivité du territoire

Ce projet est aussi en ligne avec les engagements de la démarche de développement durable « LINK » du Groupe Vivescia et la raison d’être d’Avril « Servir la terre ». 

En effet, l’aliment composé humide est formulé à partir de coproduits qui proviennent de l’agro-industrie environnante, c’est donc moins d’émissions de gaz à effet de serre pour les transporter et un bel exemple de valorisation des ressources du territoire, de l’alimentation à la production d’énergie.
Pour Sanders filiale d’Avril, la plateforme, dans une logique de valorisation des co-produits des industries agro-alimentaires, contribue à une économie circulaire régionale avec une empreinte carbone réduite.

Enfin, au-delà de la production et de la valeur ajoutée créée avec ces coproduits, la nouvelle plateforme de Pauvres permettra le maintien et la création d’emplois supplémentaires au sein du pays Rethélois qui devient un véritable « hub industriel » de l’alimentation animale, comme en témoigne notamment le lancement de la construction par Aliane d’un nouvel outil de trituration de soja à Rethel pour une mise en service au printemps 2024. 

Le projet est lauréat du Plan de Relance et bénéficiera à ce titre d’un soutien à hauteur de 1 253 000 euros dans le cadre de l’Appel à Projet « Structuration des filières agricoles et agroalimentaires ».

Site internet : https://www.vivescia.com

PARTENARIAT



Le Pôle agricole d’Euralis a contractualisé auprès de l’aval pour la vente de bovins en signant un accord avec Vignasse & Donney, son partenaire historique dans la zone Sud-Ouest.

Depuis des années, l’Organisation de Producteurs (OP) Euralis Bovins propose aux éleveurs une filière structurée et un accompagnement complet. Cet accompagnement est d’abord commercial (écoulement régulier des produits, débouchés garantis, qualification label…), mais aussi technique (suivi du projet, conseils personnalisés…) et économique. Nouveauté marquante, l’OP vient de signer un contrat de fourniture jusqu’en 2027 avec son partenaire historique, Vignasse & Donney. « Cet avenant, conforme à la loi de protection de la rémunération des agriculteurs Egalim 2, présente l’avantage de tenir compte des coûts de production des éleveurs dans la fixation des prix de vente des bovins » précise Claude Carniel, Responsable de l’Activité Bovins chez Euralis.

Avantages pour les éleveurs

Pour Euralis, la signature de ce partenariat permet de proposer des contrats sur le long terme et donc de fidéliser les éleveurs. Cette démarche engagée illustre la  stratégie au sein de l’OP Euralis Bovins. 

Cette contractualisation donne de la visibilité à l’ensemble des acteurs. Elle leur permet de se projeter. De plus, la fixation du prix en fonction des indicateurs de coût de production déterminés par l’interprofession et la révision du prix au trimestre marque une rupture avec les pratiques habituelles et la négociation du prix de gré à gré. Une nouvelle page du partenariat fort qui lie Euralis et Vignasse & Donney peut désormais s’écrire.

« Avec ce partenariat, c’est toute une filière locale qui est valorisée : des élevages locaux, une transformation locale pour une commercialisation dans le grand Sud-Ouest. Vignasse & Donney continue ainsi de contribuer à l’économie de son territoire. Ce partenariat intervient par ailleurs au moment où nous avons un projet d’agrandissement de notre outil industriel d’Artix (64) : nous avons plus que jamais besoin de sécuriser l’approvisionnement et l’entrée matière sur notre site » précise Paul Capdecomme, directeur général Vignasse & Donney. « Cette nouvelle méthode de fixation des prix permet par ailleurs d’être au plus près des coûts de production tout en restant en adéquation avec le marché. Elle offre aussi l’opportunité de sécuriser la rémunération de l’éleveur puisque le coût du bovin est connu dès le début de l’engraissement : c’est une évolution très positive » conclut-il.

Site internet : https://www.euralis.fr